Je m’appelle Françoise, j’ai 65 ans, et je viens tout juste de prendre ma retraite.
J’ai toujours été une femme active : trois enfants, une carrière à temps plein, des journées bien remplies et peu de place pour moi pendant des années. Comme beaucoup, je pensais qu’avec la retraite, la fatigue finirait par disparaître d’elle-même.
Mais j’ai vite compris que la fatigue après 60 ans est une réalité bien plus complexe. Ce n’était pas juste un coup de mou passager, mais une sensation persistante, profonde, qui s’invitait chaque jour un peu plus.
Une fatigue qui ne partait pas
Les premiers mois, j’ai mis ça sur le compte de l’adaptation. Mais cette fatigue là ne passait pas. Ce n’était pas seulement physique, c’était une sorte de lassitude qui collait à la peau : réveils sans énergie, journées en pilotage automatique, concentration difficile même pour lire un livre.
Je ne me reconnaissais plus. Mes enfants me trouvaient “moins dynamique”, et moi, j’avais l’impression de passer à côté de ma vie nouvelle.
Mon médecin me disait que tout allait bien. “C’est l’âge, c’est normal”, me disait-on. Mais quelque chose en moi refusait cette fatalité.
Un déclic grâce à ma fille
Un dimanche, en discutant avec ma fille (qui est très branchée nutrition et bien-être), je lui confie mon mal-être. Elle me dit qu’elle suit un blog intéressant sur la nutrition et le stress (celui que vous lisez peut-être en ce moment), et qu’elle y a vu passer un guide sur la fatigue après 60 ans.
Elle me l’offre quelques jours plus tard.
Un guide doux, clair, rassurant
Le guide s’intitule “Fatigue après 60 ans : retrouvez l’énergie naturellement”. J’étais un peu sceptique au début, car je n’ai jamais été très “livres de santé”. Mais dès les premières pages, j’ai accroché.
Ce n’était pas moralisateur, ni médical, ni compliqué. Juste des explications claires, des conseils concrets, des menus simples, et surtout un ton bienveillant, qui fait du bien quand on se sent “à côté de soi”.
Le chapitre sur le sommeil réparateur m’a particulièrement parlé. J’ai compris que mes réveils fatigués venaient d’un sommeil agité et peu profond — pas juste de l’âge.
J’ai aussi adoré les menus anti-fatigue. Pas des recettes “magiques”, mais des associations d’aliments et des idées de repas qui m’ont redonné envie de cuisiner — et de manger mieux.
Petit à petit, l’énergie est revenue
J’ai appliqué les conseils sans pression. Juste quelques ajustements par semaine : mieux organiser mes repas, faire attention à mon rythme, apprendre à respirer et à ralentir.
J’ai aussi redécouvert les balades du matin, avant le déjeuner. Même 20 minutes, ça change tout.
En deux mois, j’ai retrouvé une vitalité que je croyais perdue. Je dors mieux, je me réveille avec l’envie de faire des choses. Rien de spectaculaire, mais tout devient plus léger. Je me sens reconnectée à moi-même.
Aujourd’hui, je vois mes petits-enfants plus souvent. Je cuisine des plats sains que j’ai plaisir à leur faire goûter. Et je ressens une joie tranquille à être pleinement là, dans mon âge, sans subir ma fatigue.
Un mot pour les autres seniors
Si vous êtes dans cette période floue où l’énergie vous échappe sans raison claire… je vous comprends. Et je veux vous dire que ce n’est pas une fatalité.
Parfois, quelques bonnes informations, un guide bien fait et un peu de douceur dans votre rythme suffisent à réactiver votre vitalité. Ce guide m’a aidée à comprendre, à agir, et surtout à croire que c’était encore possible.
Le guide que j’ai utilisé
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Témoignage fictif inspiré de retours réels de lectrices seniors
Recueilli par l’équipe Nutrition Gourmet
